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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 23:46

On s'est beaucoup plaint récemment des termes du CETA et du TTIP, avec notamment The Donald tempêtant que le TTIP proposé comprenait plus de 5.000 pages qu'il ne comprenait pas et qu'il n'avait pas le temps de lire (le pauvre).

Donc, je propose les restrictions suivantes :

- tout traité international engageant nos petites terres d'héroïsme ne pourra comporter plus de 10 pages (maxi-maxi - plus court sera encore mieux)

- tout traité international engageant nos petites terres d'héroïsme sera rédigé dans des termes compréhensibles par tout le monde, sans aucune référence à des notions techniques et/ou complexes et avec des mots n'excédant pas trois syllabes

- tout traité international engageant nos petites terres d'héroïsme sera débattu en toute transparence afin que l'interlocuteur soit au courant de toutes restrictions, de tous les points que nous serions prêts à céder afin d'en acquérir d'autres, etc.

- tout traité international engageant nos petites terres d'héroïsme sera débattu par des citoyens pris au hasard (un peu comme le traité de Brest-Litovsk ; il est vrai que l'Union soviétique est quelque peu revenue par après sur ce souci de transparence absolue, mais nous resterons fermes sur ce point).

Et c'est ainsi qu'Allah est grand...

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3 novembre 2016 4 03 /11 /novembre /2016 16:15

C'est un article de Cécile Ducourtieux dans Le Monde du jeudi 3 novembre, article très bien documenté, honnête, critique, du vrai travail de journaliste comme hélas on en voit trop peu, lors que les journalistes ont de plus en plus tendance à recopier les dépêches de Presse ou à relayer les éternels mêmes gourous militants. J'en publie une version raccourcie qui, je l'espère, vous donnera envie de lire l'original.

Bruxelles a un problème avec sa com. Ce n'est pas nouveau : depuis des -années, les journalistes en poste dans la capitale de l'Europe sont invités à intervenir dans des débats sur " Comment parler d'Europe ? ". Mais avec le " bug " du CETA, la difficulté de la -Commission à trouver les bons -arguments et à se faire entendre est apparue encore plus crûment que d'habitude.

Quand il s'est avéré, mi-octobre, que les Wallons entendaient bloquer le processus de signature du traité commercial entre l'Union européenne et le Canada aussi longtemps que leurs réserves à son sujet ne seraient pas entendues, la Commission a d'abord -dégainé ses éléments de langage sur le sujet, d'une portée médiatique nulle ou quasi : " Le CETA est le meilleur accord possible. "

Elle s'est ensuite prise en pleine figure les politiques belges, à -commencer par le socialiste Paul Magnette, le très habile ministre-président wallon. Et toute la twittosphère anti-CETA, qui rodait ses arguments contre cet accord, le traité commercial avec les Etats-Unis (TTIP) et le libre-échange depuis trois ans. Avec des slogans chocs en 140 signes (" Non au poulet au chlore ", " Non au bœuf aux hormones ") et des photos symboles, dont celle du " cheval de Troie " (" CETA : cheval de Troie du TTIP "), une baudruche géante qui a écumé les manifestations " No CETA, no TTIP " ces derniers mois.

(...)

La commissaire au commerce, la Suédoise Cecilia Malmström, une libérale convaincue, a fait beaucoup de " pédagogie ". Depuis deux ans qu'elle est en poste, elle a mené une vraie croisade pour -rendre les négociations plus transparentes. Elle a aussi proposé, pour le CETA, une réforme garantissant des tribunaux d'arbitrage des différends entre les multinationales et les Etats bien plus indépendants du " big business " que les juridictions existantes.

" Mais quoi qu'on fasse, quoi qu'on dise, rien n'imprime ", constatent, frustrés, les fonctionnaires de la DG Trade, la puissante administration au service de la commissaire. Le poulet au chlore, les OGM ? Non, le CETA n'autorise pas qu'ils puissent être importés dans l'Union. C'est écrit noir sur blanc dans le traité signé dimanche 30  octobre par l'UE et le Canada. Les droits humains, les services publics, le principe de précaution ? Oui, évidemment, ils seront préservés. Là encore, c'est écrit en toutes lettres, et c'est même surligné dans la " note interprétative " -obtenue mi-octobre par les Au-trichiens, les Allemands et les Luxembourgeois (eux aussi avaient des réticences), et que les Wallons sont parvenus à amender.

(...)

Surtout que certains [arguments] sont en partie inavouables : si Bruxelles tient tant aux tribunaux d'arbitrage dans le CETA, c'est moins parce qu'ils sont nécessaires pour commercer avec le Canada (un pays " ami ") que pour créer un précédent et mieux imposer ces tribunaux dans des accords -ultérieurs ayant vraiment besoin de cette justice indépendante des Etats (Chine, Philippines…).

Comment s'opposer à des contrevérités mâtinées de " Bruxelles bashing " permanent ?

(...)

Jean-Claude Juncker, le président de l'institution, n'est pas chef d'un Etat, ses commissaires ne sont pas des ministres : ils sont là " pour rendre service aux pays membres ". Ils doivent en permanence -ménager les sensibilités, les priorités de vingt-huit gouvernements différents.

Le libre-échange devenu symbole de la mondialisation malheureuse ? Si les opinions publiques wallonnes, françaises ou allemandes se sont emparées du sujet, les Suédois, les Danois ou les Finlandais ne voient même pas le problème. La Commission doit aussi s'adresser à ces citoyens et à leurs gouvernants.

Parfois, l'institution abandonne brièvement la langue de bois. " Personne ne proteste quand on signe un accord commercial avec la grande démocratie vietnamienne, alors que tout le monde dénonce l'accord avec la terrible dictature canadienne ", a fini par lancer M. Juncker, visiblement excédé par l'hystérisation du débat. Mais la remarque est passée presque inaperçue : décourageant…

Corps politique mais surtout grosse technostructure, la Commission – et ses milliers de fonctionnaires génération Erasmus – est aussi victime de la perte de confiance dans la presse, les politiques, les " élites " en général. Elle a beau argumenter, imprimer des tonnes de brochures ultra-documentées, elle reste inaudible. Pire : suspecte.

Il faut dire qu'elle prête le flanc à la critique : oui, la Commission avance en déroulant un agenda libéral, parachevant depuis trente ans le marché unique. Une stratégie et des soubassements idéologiques pas vraiment pensés ni remis en question. Pourquoi conclure à tout prix ces accords commerciaux ? Que m'apporteront-ils à moi, citoyen lambda ?

(...)

La Commission Juncker, en pleine prise de conscience, tente de construire une communication plus convaincante, pro-libre-échange d'un côté, et poussant de l'autre côté à une plus grande protection des emplois et des entreprises vis-à-vis des pays importateurs, au premier rang desquels la Chine. Mais c'est dur de trouver les accents de la sincérité quand le fossé entre Bruxelles et les " peuples " s'est à ce point creusé.

par cécile ducourtieux

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 21:51

C'est d'après le dernier rapport de la CNUCED (un peu cryptique, mais il faut le lire...) et ça concerne les investissements étrangers dans divers pays et régions du monde. Et là, la France chute de 77%...

Pourquoi diable, pourquoi cette chute dans le pays où on est si bien, Wie Gott in Frankreich? La douceur et la beauté des paysages, la découverte des Droits de l'Homme, l'infinie subtilité de ses philosophes, sa découverte du libéralisme (un peu après ou avant l'Angleterre, c'est vrai, mais ça peut se discuter), son rayonnement culturel séculaire, etc., etc.

Wie Gott in Frankreich.

Et la CGT.

Qui voudrait investir dans ce merveilleux pays avec un gouvernement PS, un pantin comme Montebourg... A tout prendre, on préférerait presque Mélenchon ! Lui, au moins ferait descendre les investissements de 100% !

En fait, ce n'est pas drôle.

Mais j'ai peu de doutes, je ne suis plus depuis ma "pension" dans le secret des dieux politiques, et je ne doute pas évidemment que ce rapport de la CNUCED ait été connu de Hollande ni qu'il ait été en partie à la base de son ralliement à la social-démocratie dont jusqu'à présent la France n'avait que faire.

Bonne chance tout de même à un pays que j'aime tant...

 

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 22:21

Très bon livre de Daniel Cohen, mais qui comme tant d'autres date (2004 ! c'était hier ! Eh non, c'était avant-hier...) terriblement. Pas tellement sur le plan économique, mais plus généralement en ce qui concerne "l'Etat du Monde" et sa prospective. Il en reste des pépites à glaner, mais il y a aussi des scories dues à une évolution du Monde que l'auteur n'avait pu prévoir.

 

Certes, La Commission européenne à sa naissance était d'inspiration (économiquement) libérale (la dimension politique était évidemment essentielle, mais différente). Elle s'est malheureusement transformée au fil des ans en une bureaucratie interventionniste à tous les niveaux cornaquée par le Conseil qui se déchargeait sur elle de tous les problèmes merdiques qu'il ne pouvait gérer : même, parfois, le tourisme ! Ce qui serait terrible est la possibilité d'un "gouvernement mondial", ou même, a minima d'un "gouvernement européen" qui devrait donner son satisfecit à des aspirations nationales... Ah oui, l'équilibre est difficile, entre les Danois qui voudraient interdire les fromages au lait cru et les Français qui veulent en profiter même au prix de possibles contaminations... Pourtant, la législation européenne est simple (?) en la matière, mais ce n'est qu'un exemple minuscule.

 

En ce qui me concerne, je ne veux nullement d'un "ordre mondial" ou européen qui me dicte ma conduite.

 

On ne se laissera pas faire, non ?

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25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 16:48

C'est dans l'espace Forum de l'AFIS que j'ai trouvé toute une série de discussions particulièrement intéressantes, dont la position du CA de l'AFIS à propos des dernières publications du GIEC.

 

Une autre discussion portait sur la croissance/décroissance, avec référence à un article de Lutte ouvrière de juillet 2009. Je ne suis pas souvent en accord avec les trotz de LO, mais là, il faut reconnaître qu'ils font mouche. Ils reprennent les insanités d'un Jacques Ellul (« Nous constatons que dans la Bible, l’intervention divine a lieu quand l’inhumanité, quand le mal moral et physique dépasse les bornes. Dieu provoque un événement approprié à cet excès d’inhumanité, qui placera l’homme devant le choix de se repentir ou de mourir. Je suis convaincu que l’apparition du virus du sida correspond à cet ordre d’action de Dieu » - 1986), les formules idiotes, voire abjectes, d'un Serge Latouche (« La pauvreté, richesse des peuples », « Il faut jeter le bébé plutôt que l’eau du bain »), les mièvreries d'un Edgar Morin (« Toutes les solutions envisagées sont quantitatives : croissance économique, croissance du PIB. Quand donc la politique prendra-t-elle en considération l’immense besoin d’amour de l’espèce humaine perdue dans le cosmos ? »), les inepties d'un Yves Cochet, etc. etc.

 

Bien sûr le PCF et le NPA en prennent aussi sur la tronche pour vouloir faire la course à l'échalote avec les Verts.

 

On peut être d'accord sur les arguments, mais, en ce qui me concerne, je ne rêve pas d'un monde communiste pour demain... C'est là que nos chemin se séparent !

 

Lisez l'article, il est drôle et bien écrit.

 

 

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 21:46

Un très bel article d'Alexandre Delaigue sur ce moyen de payement virtuel et SPECULATIF (aïe, horreur, je me meurs !!!)

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 20:47

Encore le zombie du PIB... J'y avais fait allusion en citant Roger Pielke Jr. (entre autres) et voici que le même publie un post assez amusant :

"Yesterday saw the release of the Social Progress Index, a new metric of national well-being that seeks to use non-economic criteria to produce its rankings. Michael Green, executive director of the Social Progress Imperative, a Washington, DC group which with academics from Harvard and MIT helped to produce the ranking, explained:

It is becoming increasingly apparent – particularly in light of the world’s global economic downturn – that GDP is simply too one-dimensional to provide a complete measure of a nation’s progress. The ‘Arab Spring’ of 2011 and the last decade in Mexico show that robust economic growth does not automatically translate into wellbeing among the population.

Countries need a new measure – as a complement to, not a replacement for economic growth – that assesses and quantifies factors that really matter to real people: Do I have enough to eat? Do I have shelter? Can I get an education? Do I have a fair chance to get on in life without facing discrimination? Economic measures, whether it is GDP or income inequality, are mere proxies for wellbeing. We need to measure wellbeing directly.

Efforts to replace GDP as a metric of overall well-being have seen many champions. However, almost all of these efforts have added complexity but little, if any, additional value. So it seems to also be the case with the Social Progress Index.

The graph at the top of this post shows the relationship of the new SPI index with national per capita GDP (2011 PPP $US from The World Bank graphed on log scale). As you can see, there is an exceptionally strong relationship between the two metrics. More than 85% of the variance in the SPI can be explained by per capita GDP, suggesting little practical basis for preferring the SPI to a straightforward metric of wealth as a proxy for well-being.

The lesson? You can try to develop an index of well-being that hides wealth. But it is there nonetheless."

 

Pour résumer :

 

On a trouvé "l'Indice du Progrès social" qui devrait être le complément (sans le remplacer !) du PIB. Malheureusement, quand on compare ce nouvel indice avec l'abominable PIB, on trouve ceci :

 

Pielke 

 

Donc, rien de bien intéressant dans ce nouvel indice...

Comme le dit Roger Pielke Jr. :

La conclusion ? "On peut essayer de touver un indice de bien-être qui ne tienne pas compte de la richesse. Mais cette dernière est toujours là, mal gré qu'on en veuille."

 

 

 

 

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 21:42

"Les économistes partent toujours du principe qu’il y a une information parfaite et gratuite. Deux : qu’il y a une multitude d’offreurs et d’acheteurs, mais on sait bien que sur une série de produits ce n’est pas le cas. Trois : que tout est comparable. Et quatre, que les coûts de transaction sont nuls. C’est-à-dire que cela ne sert à rien de savoir que vous pouvez avoir un médicament à moitié prix à l’autre bout du monde s’il faut payer cent euros pour le faire venir. Rien que cela, permet d’affirmer que toutes ces hypothèses sont très loin d’être réalistes dans beaucoup de marchés et de situations. Pour les médicaments, à cause du système des brevets, il n’y a bien souvent qu’un seul fournisseur. Tout ce qu’on raconte sur l’économie, sur le poids des acheteurs, etc., est souvent plus limité dans la réalité par rapport à la théorie économique."

 

Voilà ce qu'écrivait tout récemment Philippe Defeyt, économiste connu de l'Institut pour un Développement durable (bien sûr), dans Le Soir de Bruxelles.

 

Ah bon. Information parfaite et gratuite. Multitude d'offreurs et d'acheteurs. Ah bon. Coûts de transactions nuls. Ah oui ?

 

Depuis des décennies, les travaux de très nombreux économistes - dont pas mal de "Prix Nobel" d'économie, ne sodomisons pas les diptères - ont justement décrit et analysé tous ces facteurs, asymétrie de l'information, quasi-monopoles ou monopsones, etc.

 

Plus personne ne "croit" évidemment à des modèles ultra-simplistes. Et, évidemment, la montée en puissance du Net permet de mettre en contact des millions de vendeurs avec des centaines de millions d'acheteurs avec des coûts qui n'ont rien à voir avec les "cent dollars" cités. J'ai acheté plus d'une fois du matériel photographique à Hongkong en réalisant de très belles économies - l'Europe n'est pas une forteresse... C'est réellement un nouveau paradigme, qui commence à être pris en compte par nombre d'économistes.

 

Et voilà comment un économiste du type "développement durable" envisage les choses : coincé au XVIIe siècle, sans même avoir voulu lire ce qui doit être écrit dans L'économie pour les Nuls. Mai bien sûr il écrit pour convaincre ceux qui ne l'ont même pas lu...

 

Idéologie, avez-vous dit ?

 

 

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 13:11

Qu'un premier ministre d'un grand pays, membre par surcroît de l'Union européenne où la libre-circulation est un principe fondateur, se permette d'injurier un concitoyen qui a choisi d'aller vivre ailleurs est proprement ahurissant. On sait bien que le "républicanisme" français est en fait un dirigisme d'Etat partagé par la droite et la gauche (il n'y a virtuellement pas de parti libéral en France) qui s'arroge le droit de micro-gérer la société dans son ensemble ; mais tout de même, tant de bassesse chez un homme qu'on croyait au-dessus de ça, c'est étonnant. Que la Presse - surtout de gauche - commente, et même s'indigne, bah ! elle est dans son rôle. Mais ici, c'est un déchaînement de rage et de haine qui s'exprime un peu partout dans le monde politique spécialement (à remarquer par contre, la grande modération de l'édito du Monde). Il y a plein de Français qui quittent leur pays pour aller chercher fortune ailleurs (au plein sens du terme...), et on n'en fait pas tout un plat, heureusement ; ce sont parfois des entrepreneurs, des créatifs, des gens d'un haut niveau, et ils ont la bougeotte, grand bien leur fasse ! Le dernier cas en date avait aussi rameuté les indignés, mais avec un Depardieu on devait bien s'attendre à une riposte foudroyante, qui est venue, bien sûr.

 

Entendons-nous bien : un gouvernement démocratique peut démocratiquement édicter les lois fiscales qu'il estime justes. Mais il doit alors en tirer les conséquences, comme chaque citoyen tire les siennes. François Hollande fait passer une loi ridicule (mais démocratique ! Ouais, démagogique, aussi), il se doit d'avoir réfléchi aux conséquences. Curieusement, l'affaire Depardieu occupe toute la scène médiatique et éclipse opportunément le fait qu'il n'y aura pas de "coup de pouce" et que les grands dossiers (fonctionnaires, etc.) traînent... J'entendais un journaliste du Point déplorer que la politique de Hollande soit incompréhensible et opaque ; on ne saurait mieux dire, sauf à croire que, finalement, il n'y en a pas...

 

 

  

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9 décembre 2012 7 09 /12 /décembre /2012 01:32

Comme petit cadeau de Noël, je vous offre un peu avant la date (du moins pour ceux qui ne les auraient pas lus), deux jolis articles d'Alexandre Delaigue :

 

http://blog.francetvinfo.fr/classe-eco/2012/12/07/comment-feter-noel-comme-un-economiste.html

 

et

 

http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/index.php/?2011/06/15/1797-l-euro-survivra-t-il

 

Voilà. Le premier n'est pas neuf, mais l'autre est tout chaud.

 

Enjoy !

 

 

 

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