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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 21:21

Je me demande souvent pourquoi ce barbarisme de "citoyen" a supplanté en tant qu'adjectif le bon vieux "civil".

 

Oh, oui, c'est assez simple... ça fait mieux, c'est plus "sérieux", plus vrai...

 

Une initiative "citoyenne", c'est les "citoyens" (qui n'y connaissent rien) s'opposant à des scientifiques (qui, eux, s'y connaissent) : "Je ne sais pas trop bien de quoi il retourne, mais j'ai le droit de dire mon sentiment".

 

C'est aussi une manière pour certains scientifiques dévoyés (dans le sens strict du terme - je pense entre autres à Testard ou à Seralini) de s'approprier un espace public et médiatique en voguant sur la vague post-moderniste exploitée aussi par, disons, Bruno Latour ou Michel Serres, vague brillamment déconstruite par Sokal et Bricmont.

 

J'y pense en recevant ce matin un petit opuscule rédigé par un groupe ultra-minoritaire en Belgique (mais bénéficiant tout de même de l'appui de quelques conseillers municipaux par-ci, par-là) rêvant d'établir un émirat ici, comme le voudrait aussi un autre groupe flamand, Charia for Belgium. Et, évidemment, ce groupe dénommé "ISLAM" se présente comme une initiative citoyenne... On avait reçu aussi un opuscule du même type venant du Vlaams Blok, autre initiative citoyenne, mais prônant, lui, une jolie famille bien belche montrant un couple avec trois enfants et une belle femme évidemment enceinte, tous (sauf le foetus, n'exagérons rien) très blancs et blonds, un modèle rappelant de façon assez nauséeuse certaines représentations anciennes - enfin, pas si anciennes qu'on ne puisse pas s'en souvenir.

 

Non, je ne veux pas assimiler les "initiatives citoyennes" au nazisme, mais je ne puis m'empêcher non plus de rappeler que tant d'intellectuels se sont précipités il n'y a pas si longtemps sur des "science prolétarienne". On a vu ce que cette promotion de pseudo-science a coûté à la science et à nos sociétés, sous couvert d'un progressisme de carton-pâte. Une certaine extrême-gauche alliée à un certain extrême écologisme nous promet une résurgence d'un certain obscurantisme...

 

Pas drôle !

 

 

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 18:01

En relisant le très indispensable La démocratie des crédules , je suis retombé sur ce que GB appelle l'effet Fort, du nom d'un doux dingue du nom de Charles Fort (Albany 1874 - New York City 1932) qui avait inventé ce merveilleux système argumentatif de présenter à l'appui d'une thèse un ensemble d'arguments dont aucun ne vaut rien (ou pas grand' chose) mais dont la multitude laisse les contradicteurs pantois. Pour reprendre le mot de GB, il s'agit d'un millefeuille argumentatif. L'idée (manipulatrice) et de laisser une impression de "tout cela ne peut pas être faux", idée reprise par Fort lui-même et par quantité de ses disciples, comme Bergier et Pauwels avec leur Matin des magiciens paru en 1960, ouvrage qui avait profondément irrité les rationalistes à l'époque (dont moi-même, je le dis modestement).

 

Il va de soi que toutes les thèses conspirationnistes s'inspirent de cette stratégie : ainsi pour 9/11, il faudrait pouvoir démolir les thèses conspirationnistes argument par argument, ce qui demande beaucoup de temps et de compétences. J'ai essayé de convaincre un mien neveu par alliance : chaque fois qu'il me sortait un argument, j'allais chercher une explication sur le Net, mais alors il m'en sortait un autre, et ceci ad nauseam... J'ai renoncé ; après tout pourquoi perdre mon temps, je ne le convaincrai pas et puis, que m'importe qu'il croie ce qu'il croit ?

 

J'avais un peu oublié ce chapitre et j'ai pris plaisir à le retrouver.

 

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 21:39

C'est le titre du plus récent livre de Jean de Kervasdoué.

 

On le connaît, ce sombre personnage qui se déplace en Rolls Royce (avec son chauffeur obséquieux, la main à la casquette) ou en Première dans tous ses déplacements mondiaux (aux côtés d'Al Gore, je suppose). Tout cela grâce aux énormes sommes que lui versent les affreuses multinationales qui exploitent l'humanité et déversent leurs malfaisances sous forme de CO2, d'OGM, de pesticides, et tout ça.

 

Donc, une fois de plus, un livre à vraiment recommander.

 

Livre que j'ai par ailleurs acheté sur Kindle. Certains vont se scandaliser, surtout à quelques jours de notre incomparable Foire du Livre. Ah oui, bien sûr, rien ne vaut le bon papier, celui qui glisse entre les mains, ou écorche les mains, comme les éditions dites de poche qui présentent le texte - en général sans index ni addenda - sur un affreux papier jaunâtre avec une typographie copiée-collée pas toujours très lisible. Quand nous étions jeunes, ce n'était pas un problème, on avait de bons yeux, c'était bien moins cher et ça nous permettait de lire plein de livres qu'on pouvait même "mettre dans la poche" pour les lire dans le tram, ou ailleurs.

 

Kindle, c'est un peu ça aussi, on peut mettre le livre dans sa poche (iPhone), dans l'avion (iPad), chez soi (PC ou Mac). Il y a même la possibilité d'accéder directement aux notes écrites par d'autres liseurs en temps réel (ou de les mettre à la poubelle, bien sûr !), de surligner, d'accéder à des pages web, etc. Même un dictionnaire...

C'est une autre manière de lire. Une autre manière... Mais intéressante aussi.

Donc, petit conseil : achetez la version Kindle si vous êtes "branché", et puis aussi la version "papier", de préférence reliée. Pour les auteurs, meglio ancor...

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:50

Une nouvelle (enfin, nouvelle... elle date du 25/9/2010) citation du New Scientist, sous la forme d'un édito :

"For many years, any mention of the sun's influence on climate has been greeted with suspicion.

People who believe human activity has no effect on the climate staked a claim on the sun's role, declaring it responsible for the long-term warming trend in global temperatures. Climate scientists were often uneasy about discussing it, fearful that any concession would be misunderstood by the public and seen as an admission that climate sceptics are right.

No one has ever denied that the sun has an effect on climate. But the consensus view has always been that variations in the sun's activity, such as the 11-year sunspot cycle, have insignificant effects. While this remains true, the latest findings show that the sun might be significant on a more regional scale. It seems changes in solar activity can have consequences ranging from higher rainfall in the tropics to extreme weather events in the north (see "The sun joins the climate club").

We now know we should take the influence of our local star into account. But its effects are far more subtle and complex than those who flatly deny human influence on climate change would have us believe."

à rapprocher d'un articulet plus récent du même NS (11/1/2014) intitulé "Sleepy Sun Widens the Slow Solar Wind".

Fascinant. Donc, le rôle du Soleil sur le climat terrestre est reconnu par les climatologues (du moins certains d'entre eux, suivez mon regard...), contrairement à ce qu'ils ont toujours professé ! Mais comme ç'aurait pu valider les critiques des "négationnistes", il faut se taire...

Si c'est ça la "science officielle", ça me fait peur !

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:23

Sur le site (paywalled) du New Scientist, cet article intéressant qui se termine ainsi :

"Organic farming in the tropics may carry the same benefits as it does in Europe, Turnbull notes. But it might not. Many of the species that benefit from organic farming in Europe have evolved for many centuries alongside intensive farming – which was effectively organic until after the second world war. Tropical wildlife lacks this history with intensive farming, so it may benefit less.

In fact, organic farming may even be worse for wild species in the tropics. Organic farming yields are lower than they are for intensive farming, points out Turnbull. So to produce a given amount of produce organically, more natural habitat must be cleared and more wildlife disturbed.

Journal reference: Journal of Applied Ecology, DOI: 10.1111/1365-2664.12219"

"La culture biologique dans les Tropiques peut être aussi bénéfique qu'en Europe, note Turnbull. Mais peut-être pas. De nombreuses espèces ayant bénéficié de l'agriculture biologique en Europe ont évolué durant de nombreux siècles aux côtés de la culture intensive - qui n'est devenue bio qu'après la deuxième guerre mondiale [et là, je me pose des questions... - cdc]. Les espèces tropicales n'ont pas vécu à côté de ces cultures bio, et donc elles peuvent en avoir moins bénéficié.

En fait, les cultures bio pourraient être plus désavantageuses pour les espèces sauvages tropicales. Les rendements de la culture bio sont moindres que ceux de la culture intensive, fait remarquer Turnbull. Dès lors, produire une quantité de produits bios exige de détruire plus d'habitats naturels et de perturber plus de vie sauvage."

I rest my case, même si la traduction est rapide (mais exacte...).

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 21:08

Je me souviens d'avoir été assez choqué de lire cette phrase alors que dans ma relativement courte existence j'avais été le témoin de plus d'une réévaluation des données : la "dérive des continents" m'avait immédiatement sauté à l'esprit, évidemment, étant donné ma formation, et bien sûr cet exemple a  été largement évoqué par de nombreux commentateurs. Un autre exemple particulièrement intéressant est celui des innombrables (à entendre dans le sens figuré, bien sûr) séquences d'ADN précédemment dits non-codants, les introns, par opposition aux exons. La découverte de cette dichotomie chez les eucaryotes avait valu à Sharp et Roberts un prix Nobel en 1993 et était tombée comme une bombe dans le petit monde de la biologie moléculaire, tout comme le fait que l'ADN humain ne comportait finalement qu'une vingtaine de milliers de gènes. Bien sûr aussi on savait - ou on devinait - que ces introns n'étaient pas innocents, qu'il fallait voir un peu plus loin.

Ben voilà... Le projet ENCODE (Encyclopedia of DNA Elements) lancé en 2004 montre bien que ces introns sont d'une grande importance dans l'expression génétique, tout comme ce qu'on ne connaît que vaguement à propos des l'épigénèse (méthylation, surtout, mais on verra plus tard).

Et, donc, tout ce qu'on croyait savoir sur l'ADN version Crick et Watson revue par Sharp & Roberts et al. doit être réexaminé.

Petite parenthèse : je relisais(*) ce soir la somme (grand public) de Sarah Blaffer Hrdy, Mother Nature et cette très belle phrase reprenant le néo-darwinisme sur un point précis : "Unless mating results in offspring who themselves survive infancy and the juvenile years and position themselves so as to reproduce, sex is only so much sound and undulation signifying nothing" - ses italiques. C'est évidemment un addendum très important portant sur la possibilité maternelle d'accompagner sa descendance, biologiquement et socialement.

Science is never settled, c'est ce qui fait sa grandeur et sa passionnante aventure.

(*) Ma note à un post précédent

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 19:02

Je ne sais si c'est la même chose ailleurs, mais la Belgique s'intéresse de près au froid intense qui règne aux USA. C'est chaque jour à tous les points info de la RTBF qu'on entend parler de cette vague polaire, avec des commentaires extrêmes (le plus froid depuis..., depuis... parfois dix ans, parfois vingt ans, on n'en sait trop rien, comment comparer des températures avec des mètres de neige, en Alabama ou à Buffalo ?). Mais enfin... J'entendais parler de températures de -50°C : aïe ! Vraiment si basses que ça ? Du temps où j'allais régulièrement à Detroit (Michigan), il m'arrivait souvent en hiver d'affronter des températures de -25 ou -30°C. Les gens là-bas y étaient accoutumés, moi moins. Mais -50 !?.

Et puis je suis tombé sur WUWT sur une carte des températures :

Températures Amérique du Nord (en °Farenheit)

Températures Amérique du Nord (en °Farenheit)

Non, ça ne collait pas vraiment... Et puis, depuis hier, le pot-aux-roses est découvert ! En fait, on parlait de "températures ressenties" ! Autrement dit, corrigées par la vitesse du vent (et accessoirement de l'humidité, je suppose). C'est une métrique qui vaut, certes, mais pour les animaux (surtout les Hommes) et pas pour les thermomètres. Je le reconnais, aucune voix n'a à ma connaissance encore imputé ce vortex polaire particulier au dérèglement climatique anthropogénique (à la différence des hivers précédents) ; il faut dire que les températures exceptionnellement douces de l'Europe font scandale, donc les météorologues se tâtent, même ceux qui dépendent de la férule GIECiste de leur patron, le redoutable Jean-Pascal van Ypersele, vice-Président dudit GIEC !

Et, à cet égard, une petite parenthèse : 48% des membres de la Société américaine des météorologistes (AMS) diffèrent d'opinion sur les conclusions du dernier rapport de ce GIEC. Ce sont des météorologistes, pas des modeleurs. Comment étouffer le scandale ? Très simple : il faut éjecter ces négationnistes de l'AMS... (j'avoue ne pas retrouver la référence, mais vous pouvez me faire confiance - c'est d'ailleurs une réaction très commune de la part des militants : faites taire mes contradicteurs ; on en trouve un excellent exemple dans un récent article du Guardian : Should Australian newspapers, like Fairfax, publish opinion pieces that deny or seek to cast doubt on man-made global warming?).

Et donc, j'ai encore eu droit ce matin à "un record de froid depuis 20 ans : -53°C !!!...ressenti ".

Notez, je comprends les journalistes, ça leur fait une minute assurée à chaque point info, une véritable aubaine !

 

Ce que je comprends moins, c'est qu'ils passent à côté de la saga la plus marrante de cet hiver, les aventures de M. Chris Turney, pardon, du Professeur Chris Turney, expert en charlatanisme et changement climatique :

 

Cartoon by Josh

Cartoon by Josh

Ce gugusse a rassemblé quelques scientifiques et quelques journalistes (dont les inévitables du Guardian, ça va de soi) pour rééditer cent ans plus tard une expédition vers le Pôle Sud, et, plus précisément pour montrer à quel point le réchauffement climatique anthropogénique faisait fondre la banquise. Plein été austral, ciel bleu, plein soleil, on y va !

Seulement voilà : le ship of fools s'est fait bloquer par un englacement que le Bozo en chef n'avait pas prévu, sans doute aussi en raison de son incompétence crasse et de son obstination face à un commandant mieux au courant des choses. Il a fallu envoyer au moins trois brise-glaces - qui ont échoué, puis un hélico pour sauver tout ce joli monde.

Les vrais scientifiques des bases polaires apprécient peu :

"In an interview with AFP, Yves Frenot, director of the French Polar Institute, said he had no issue at all with rescuing those aboard the stricken vessel.

He said the trip itself was a ‘pseudo-scientific expedition’ that, because it had run into difficulties, had drained resources from the French, Chinese and Australian scientific missions in Antarctica."

"The trip on the Akademik Shokalskiy was aimed at emulating a 1911-1914 expedition by the Australian explorer, Sir Douglas Mawson.

‘This kind of commemorative expedition has no interest from a scientific point of view,’ said Frenot.

Because of the rescue operations, French scientists had had to scrap a two-week oceanographic campaign this month using the Astrolabe, Frenot said.

‘The Chinese have had to cancel all their scientific programme, and my counterpart in Australia is spitting tacks with anger, because their entire summer has been wiped out.’"

Et, selon un e-mail d'un autre chercheur :

"The Australian ice breaker Aurora Australis was here at Casey [Station, Antarctica] in the process of unloading the coming year’s supplies for the station, as well as a number of researchers and their science gear for this summer’s activities, when the emergency response request was issued. The Australians shut down the unloading very quickly and left within a few hours after the request arrived but only about a third of the resupply was completed and a lot of that science gear was still on board.

The short- and long-term impacts on the Australian science program are pronounced as you can imagine and I understand it is the same for both the Chinese and French programs since their icebreakers were diverted, too. I’ll be sitting down to New Year’s Eve dinner in a few minutes with a number of Australian researchers including the director of the Australian Antarctic Division Tony Fleming – many of these guys can’t complete the research they’ve been planning for years because some or all of their science gear still is on the Aurora. [bold added]".

Inutile de dire que l'histoire fait le tour de la planète médiatique, sauf - curieusement - de nos media francophones (un petit article dans Le Monde, rubrique Planète, donnant peu de détails croustillants). Les Australiens, par exemple, ne sont pas prêts à payer les quelque 1,5 millions de dollars (au bas mot) que cette clownerie risque de coûter (l'Auguste est australien, professeur-sic à l'Université de New South Wales)

Bizarre, tout de même... Je ne suis en aucun cas adeptes des théories du complot, mais je crois de plus en plus aux vertus (si j'ose dire...) de l'autocensure inconsciente.

 

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 15:22

Je suppose que, comme moi, vous avez tous lu que l'Univers (enfin, celui que nous connaissons, pas nécessairement les hypothétiques multiverses qui nous "entourent") ne comprenait au début que de l'hydrogène, de l'hélium et du lithium, et que - pour employer la phrase-cliché habituelle - les éléments plus lourds ont été forgés dans les supernovae, simple conséquence du fameux E=mc2.

 

Oui, sauf que la fusion des noyaux marche très bien jusqu'à l'élément Fe - le fer, c'est-à-dire pas très loin (Département 26, en quelque sorte). Après ça, il fallait compter sur des captures de neutrons, lesdits neutrons se désintégrant en protons dans des étoiles géantes. Mais voilà, c'est un processus très lent, et même si notre Univers est assez vieux, il ne l'est pas encore assez.

 

Comment donc accélerer cette capture de neutrons ? Eh bien, tout simplement dans des collisions d'étoiles neutroniques, mon gros bêta ! C'est au moins ce qu'a montré (par simulations...) H.-Th. Janka du Max Planck Institut.

 

C'était notre rubrique "Comment ai-je pu vivre sans savoir ça".

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 22:37

L'EUFIC, European Union Food Information Council, un site très intéressant - mais évidemment très dirigé, bien qu'il ne se réfère qu'à des articles peer-reviewed.

On y apprend de belles et amusantes choses ; M. Rabhi, tenez-vous au courant...

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 16:48

J'avais consacré un post court à ce sujet il y a peu, invitant à lire ce que les scientifiques allaient livrer aux politiques (sachant tout de même que certains scientifiques étaient plutôt de type activistes), et ce que ceux-ci allaient en faire.

 

En découvrant le site turgot.org, je trouve un article de J-M Bélouve reprenant le sujet en profondeur.

 

Bonne lecture !

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