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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 22:42

Vous avez sans doute reçu ce "brol" tournant sur le Web :

Prenez le temps de regarder ce vidéo  essentiel quand à notre futur!
Et impliquez vous ainsi  dans la sauvegarde des abeilles, de notre environnement et du bien-être de nos enfants !!!!

Albert Einstein : « Si l'abeille disparaît, l’humanité en a pour quatre ans »

 

Ouais. Déjà reçu cinquante fois. Donc voici ma réponse à une amie qui me demandait mon avis :

 

"Diable, diable, quatre ans… Pas six ans, pas cinq ans, pas quatre ans et demi, non, quatre ans !

Il en savait des choses, papa Einstein, même quand il parlait en-dehors de son domaine de compétences, non ?

Ben non, il n’a tout simplement jamais dit ça, pas plus qu’il n’a fait l’éloge de l’astrologie, mais ces deux citations tournent en boucle sur le Net depuis des années, sans qu’aucune ne se réfère à quoi que ce soit. Einstein, le symbole même de la Science populaire, a dit. On ne sait où, on ne sait à qui, on ne sait quand, mais il a dit.

 

L’effondrement de certaines colonies d’abeilles est un problème extrêmement sérieux étudié par de nombreux laboratoires un peu partout. Quelques références :

www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1749

www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1229

www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1376

www.pseudo-sciences.org/spip.php?breve52

 

ainsi que plusieurs articles du Scientific American (aux USA, rien que l’industrie du miel pèse 150 millions de $ annuellement, ce qui n’est pas grand’chose à côté de l’industrie pollinisatrice et des vergers pollinisés).

http://www.scientificamerican.com/podcast/episode.cfm?id=bee-afraid-bee-very-afraid-09-08-14

http://www.scientificamerican.com/podcast/episode.cfm?id=disappearing-bees-have-devastated-r-09-08-25

 

Malheureusement, il y a tout un courant, surtout de petits apiculteurs parfois acculés à la faillite, qui ont le coupable tout trouvé : les néonicotinoïdes – dont par ailleurs on semble avoir montré qu’ils avaient une part de responsabilité dans ce phénomène multi-causal. Yaka interdire le Gaucho, et tout retombera dans l’ordre… Hélas, c’est très improbable.

Il est totalement inutile – et même nuisible - de signer une telle pétition. L’importance économique des abeilles est telle que les chercheurs ne chôment pas ! Notez, on peut regretter qu'il s'agisse de gros sous (demandez au PTB), mais c'est comme ça.  

  

     

  

  

 

 

 

 

 

 

 

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 17:19

Souq_waqif_doha_qatar_07.jpg

 

 

Doha COP18 guide: "Immerse yourself in Arab culture at Souq Waqif, a traditional market. Wander through the labyrinth of traditional Qatari architecture, where stalls sell everything from exotic spices and perfume, to fabrics and household goods. Visitors can barter over the local handicrafts, see the falcons for sale or relax with a shisha pipe and some Middle Eastern delicacies." (image by wikipedia)

 

Vous trouverez à cette adresse la liste des ONG  participant à la joyeuse mascarade annuelle - et veuillez noter que si le costume d'ours polaire a eu du succès, il y avait quelques zigues déguisés en arbres.

 

Youth Crime Watch of Nigeria (YCW Nigeria), pas mal, Evangelist Professional Training School, Berlin, n'est pas mal non plus. Et que pensez-vous du California College of the Arts (CCA) ? Quant aux représentants de la League of American Wheelmen, Washington, on peut clairement supposer qu'ils sont venus à vélo. Heureusement, il y avait de nombreux groupes de prière, gràce à Evangelist Professional Training School, Berlin, et à Franciscans International, Genève. Et il y en a des tas d'autres comme ça... Heureusement, il y a aussi le CFACT qui débarque, avec l'imprévisible Lord Monckton, et un autre type de cirque.

 

Enfin, ça fait marcher les affaires, ne nous plaignons pas.

 

 

 

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 21:51

[Résumé des chapitres précédents : il n'y a pas de chapitres précédents]

 

J'emprunte le chapeau à l'inoubliable Stephen Leacock (Nonsense Novels) dont je ne puis que vous conseiller la lecture. C'est là que vous apprendrez que "Knotacentinum Towers" se prononce en fait Nosham Taws, comme Leicetershire se prononce à peu près Lesture, Worcestershire Sauce (oui, l'excellente "sauce anglaise", en fait le garum des Romains et l'accompagnement obligatoire du "filet américain" belge ou "steak tartare" français - inutile de dire que ça ne se conçoit même pas aux USA) se dit Worstcher sauce et que Maria Joao Pires se prononce réellement Mariajopirch. Peu importe.

 

Eh bien si, il y a eu des chapitres précédents. Et notamment la terrible Sandy qui a plongé New York dans la tourmente, mais pas pour la première fois. Apparemment, le pire orage/ouragan (bien entendu, cette classification est assez arbitraire) ayant touché New York s'est produit en 1824 - oui, 1824) lorsque, durant une basse marée, les eaux de l'East et de l'Hudson Rivers se sont jointes jusqu'à Canal Street.  Si vous ne connaissez pas bien la topographie NYaise, allez voir sur un plan de la ville. Et devinez ce qui se serait passé en temps de marée haute, sans parler de marée de syzigie, ce qui a eu lieu lors de Sandy - sans parler évidemment du fait qu'en 1824, la ville n'était pas précisément aussi peuplée ni développée qu'en 2012. Il n'y avait pas de métro, de tunnels ni de garages de taxis - ni même d'électricité, ça va de soi).

 

Pour ce qui est des ouragans ou des cyclones post-tropicaux, on a de bonnes statistiques à ce sujet. Rien de bizarre, quoi qu'en disent les McKibben et autres pas-Cassandre (car rappelons que Cassandre avait la malédiction de prédire la vérité et de ne pas être crue) :

 

PDI_1900-2012.jpg

 

image que j'ai copiée de Pielke Jr. et provenant de Chris Landsea du "US National Hurricane Center".

 

Le trend est plat. Et n'oublions pas que les Pielke ne sont nullement des sceptiques dans le sens restrictif que leur donnent les partisans du GIEC, bien au contraire ! Mais pour ça, il faudrait lire ce que ces bons profs d'Universités prestigieuses écrivent...

 

C'est pas pour demain qu'on les citera dans notre Bonne Presse...

 

Merci à Watts pour m'avoir fait lire l'article de Pielke

 

 

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 12:24

La plage, pardi ! Il y fait entre 25 et 28 degrés... 

 

Et tandis que nos braves zécolos tempêtent et vous dissuadent violemment de prendre l'avion - jusqu'à l'inénarrable Yves Cochet qui prévoit la mort de l'aviation vers 2025 - des dizaines de délégations gouvernementales se rendent au Qatar pour discuter d'un truc aussi vain que la réanimation du cadavre-Kyoto. A vélo, très certainement, en compagnie de 7.000 délégués des ONG, ainsi que la Presse (ce n'est pas pour couvrir le non-événement qu'ils se bousculent, c'est pour le charme de Doha).

 

Et que vont faire ces délégués, à part leur numéro de clown habituels de se travestir en ours polaires ? Tout simplement, ouvrir boutique, avoir une petite table sur laquelle sont empilés des flyers en quadrichromie sur papier sinon recyclé, du moins affirmant fièrement sa durabilité par un logo approprié. Assister ensemble à des conférences et à des "événements", où 500 personnes, toutes du même avis, discutent de sujets absolument sans aucun intérêt pratique sous la houlette d'un théoricien fumeux ou d'un illuminé symbolique : chef Guarani, sorcier Wiradjuri ou shaman Pawnee. Restriction, pas de fumette comme chez les alter, je ne pense pas que ce soit bien vu au Qatar. Cependant que les délégués des gouvernements palabreront sans fin en connaissant pertinemment la futilité de leurs échanges qui se termineront par un n-ième constat de vacuité. Heureusement, d'ailleurs, car chaque fois que se prennent des décisions à ce genre de congrès, on sait bien que les conséquences en sont catastrophiques. Mais en attendant, ils auront pris du bon temps, auront passé des soirées agréables, revu des copains, etc. Et je ne parle absolument pas hors expertise, croyez-moi.

 

Et au départ, on ramassera les flyers non distribués, totalement inutiles puisqu'ils ne font que résumer ce que toutes ces ONG exposent en long et en large sur leur site Web, quelques poignées de mains et bises rapides, à la prochaine, tu vas à Mexico en janvier, non moi c'est Bali en février mais il paraît qu'on se reverra à Bahia fin 2013, non ?

 

Et le plus drôle, c'est qu'ils ont reçu des subventions pour ça!

 

Merci à Donna

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 00:21

Je n'ai (presque) jamais craint qu'Obama puisse perdre sa réélection, malgré quelques fautes de parcours (comme celle de choisir Steven Chu, un lauréat Nobel  qui méritait évidemment son titre de lauréat (*), comme ministre de l'énergie, ce qui illustre une fois de plus que la politique et la science ne font pas bon ménage).

Une bonne raison pour deviner le succès d'Obama peut se trouver dans un article très intéressant du New Scientist, et aussi pour le sans-faute lors de Sandy, pas comme Bush pour Katrina, bien sûr ! Et ce malgré les récriminations du témoin privilégié du Monde (dont je ne retrouve pas les articles, il est tard et je reviens de la conférence de Salman Rushdie au "BOZAR"), sans doute expulsé aigri. Voir le gouverneur du New Jersey - un pur Républicain - taper sur le ventre d'Obama était assez jouissif...

Mais voilà... Tout le monde maintenant connaît (et oubliera dans quatre ans...) l'importance des "swing States". Inutile, ou presque de prendre en compte des Etats déjà acquis à l'un ou à l'autre camp. Mais il y a les indécis, comme par exemple, tout le monde aussi le sait, la Floride et... et... par exemple l'Ohio et la Pennsylvanie. Mais voyez, ces deux derniers Etats viennent de s'enrichir prodigieusement grâce à l'exploitation du "gaz de schiste", et devaient donc se tourner vers l'administration actuelle, malgré le veto (enfin, disons les réserves) de la même administration à ce sujet.

On trouvera ici une jolie petite illustration de cette aporie... Mais on en trouvera plus encore ici. J'ai été très intéressé d'entendre ce matin une discussion entre les pour et les contre du fracking à la RTBF. Pour une fois, notre radio nationale ne s'est pas pliée à l'opinion des zécolos, et a même accordé une bonne partie de la discussion aux partisans du fracking. Bigre ! Aurons-nous une réelle évaluation, comme celle de l'AFIS ?

 

 

(*) pas comme le Mann rigolo ! A ce titre, et comme ancien fonctionnaire de l'UE, j'y ai droit aussi...

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 21:31

On trouve tout et son contraire à ce sujet. L'huile de palme est-elle la dernière destructrice de notre belle Planète (avant que les petits hommes verts la détruisent) ou est-elle une merveilleuse découverte ? Faut-il s'abstenir de Nutella (que je n'aime pas...) et de moamba (que je n'aime pas plus - notez que la référence précédente ne mentionne pas notre bon vieux Congo, où la moamba appeléée "moambe" ici fait rage, accompagnée du fufu, plat parfaitement aussi immonde que le poisson pourri adoré par les Suédois à Noël) ?

 

Donc, un pour : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/articles/2010/science/huile-de-palme-et-idees-recues

 

et un contre : http://www.protegelaforet.com/consolutions/huile-de-palme

 

 A vous de choisir...

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 17:51

Il a quitté le shtetl avec le reste de sa famille, ils ont erré, passé des frontières. Puis ils ont pris le paquebot, en steerage, avec les valises et la cargaison, et une foule d'autres venus de partout qui espéraient trouver une autre vie. Quand le paquebot a accosté, on les a tous renvoyés dans des bateaux plus petits qui les ont emmenés sur Ellis Island où ils ont passé des heures et des heures à répondre à des questionnaires qu'ils ne comprenaient pas, ou pas bien, avec leur maigres connaissance linguistiques, heureusement, il y avait des gens qui parlaient le yiddish ou un improbable dialecte italien, mais c'était si déroutant, si terrifiant. Allait-on le renvoyer là-bas ? On disait que ça arrivait... Et puis, miracle, ils ont pu reprendre le petit bateau et enfin être admis dans le pays de l'espoir.

Cette nuit-là, le vieux Juif erra dans la ville, ivre de bonheur ; il arriva dans Fulton Fish Market, et dans l'enchevêtrement des échoppes, il vit deux grands paniers, l'un portant l'écriteau "Crabes, 3$" et l'autre "Crabes extra, 5$". Il vit, médusé, un crabe qui s'échappait du panier à trois dollars, puis grimpant dans celui à cinq, s'y laissa tomber... "America gonef!" souffla-t-il.

 

Oui, j'ai choisi de raconter cette vieille histoire en y mettant du mélo, mais je la trouve toujours aussi drôle : American gonef, Amérique fripouille, sacrée Amérique, only in America.

 

Sauf qu'elle est assez fausse. New York - c'est devenu un lieu commun - n'est évidemment pas l'Amérique, pas celle des rednecks (qui ont malgré tout un certain charme cinématographique, voir le magnifique Shotgun Stories, et tant d'autres)  ni des misérables petites villes à deux rues se croisant à angle droit où on trouve un minuscule strip mall, un drugstore et un MacDonald à côté d'un restaurant chinois et du Sheriff's Office. Non d'ailleurs que celles-ci n'aient un certain charme, etc. Je me souviens de Culpeper, VA...

 

Bref.

 

Il y avait trois ou quatre ans que je n'étais allé à Manhattan. Je l'ai retrouvé presque comme je l'avais laissé, avec plein de choses anciennes et nouvelles. Trois ou quatre douzaines de langues parlées, des noms et prénoms venant des quatre coins de la Terre, des wagons-"restaurants" de rue proclamant bien fort leur qualité de Kasher (mais rarement Glatt Kasher, même si un quelconque rabbi atteste par écrit que la crème glacée en vente est vraiment acceptable par les vrais Juifs - ce qui me rappelle cet extraordinaire moment où des Mozabites - oui, des Mozabites ! mais c'était in tempore non suspecto, pour tout dire en 1979 - nous avaient dit qu'ils avaient plus confiance dans la viande du Yehoud du coin que dans celle de leur boucher habituel. Il faut vous dire qu'à l'époque, nous voyagions avec un bon ami très Juif qui avait été bien accepté par lesdits Mozabites lui faisant des remontrances en disant que la télévision était une abomination parce que les femmes et les enfants du M'zab préféraient regarder la téloche - était-ce "Dallas" ? Je ne m'en souviens plus trop - plutôt qu'aller prier. Et notre bon ami de nous confier, lui qui comme nous ne regardait jamais la télé : "au fond, la téloche, c'est pas si mal..."). Et puis bien sûr la proclamation juste à côté (ou en-dessous) du wagon de rue : "Halal", suivi (en arabe) du célèbre "Bismillah er-rahman er-rahim", "Au nom de dieu, le bienfaiteur, le miséricordieux". Pour des hot-dogs, c'est tout de même pas mal. On imagine à Lourdes "Bernadette la Chouette, laquelle veut voir dieu". Sur un stand de barbe-à-papa.

 

Voilà.

 

New York. New York est la ville urbsissima. Paris est évidemment la "plus belle ville du Monde", Rome est une merveilleuse ville provinciale, etc. NY (Manhattan, mais pas seulement) est la seule ville où il ne fait pas bon vivre, mais où on vit prodigieusement. Bien sûr, nous y étions quand Sandy s'est amenée - avions bloqués au sol, ça va de soi. Trop facile, évidemment dans un hôtel avec des générateurs, et de quoi se plaindre quand le WiFi s'éteint pendant une heure...

 

Le lundi après-midi, balade vers Battery Park - fermé. Pluie, pas mal de vent. Sandy n'est même plus un ouragan, mais un effroyable complexe de tempêtes et de marées de sysigie. Horribile visu, la mer qui s'engouffre dans les tunnels, dans le metro, cent maisons qui crament dans le Queens. Effroyable. Les images des lourdes vagues, qui me rappelaient le tsunami de 2004 : un gonflement presque gentil, mais écrasant tout sur son passage. Les tunnels, le métro, les voitures balayées...

 

Le lendemain - non : le lendemain, elle n'était pas souriante. Beaucoup de NewYorkais ont accueilli avec joie un jour béni de congé (ils n'en ont pas beaucoup). Et puis, le surlendemain, ceux ou celles que je connais en avaient un peu assez. J'en sais une qui voulait revenir de Brooklyn à pied mais le vent était trop méchant.

 

Les NewYorkais sont durs. Résilients.

 

Je n'ai pu retourner ni à Dia:Beacon, ni aux Cloisters. Quel dommage !

 

I'ILL BE BACK!!! I love NY... Been born there...

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 22:58

Par l'intermédiaire d'Imposteurs, nous avons reçu ce merveileux reportage de l'AFIS sur une prodigieuse agro-bio-écolo pseudo-ferme en Ardèche :

 

"Le 19 juillet 2012, le site Bastamag publiait un article d'Agnès Rousseaux et d'Ivan Du Roy, intitulé : « s'initier à l'agroécologie : mode d'emploi ».
Cet article fait l'éloge d'une ferme expérimentale, le mas de Beaulieu, de l'association « Terre et Humanisme », situé en Ardèche sur la commune de Lablachère et qui existe depuis 1998.
http://www.bastamag.net/article2556.html"

 

Bastamag, oh oui, "Basta, mag" ! pour ce qui est de rigoler de ses foutaises, lisez le reportage ! C'est à se tordre.

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 21:41

"And this isn’t about science or personal careers and reputations any more. This is a fight for survival. Our civilisations' survival. .. We need our own anonymous (or not so anonymous) donors, our own think tanks…. Our Monckton’s … Our assassins.

Anyone got Bill Gates’ private number, Warren Buffett, Richard Branson? Our ‘side’ has got to get professional, ASAP. We don’t need to blog. We need to network. Every single blog, organisation, movement is like a platoon in an army. ..This has a lot of similarities to the Vietnam War….And the skeptics are the Viet Cong… Not fighting like ‘Gentlemen’ at all. And the mainstream guys like Gleick don’t know how to deal with this. Queensberry Rules rather than biting and gouging.

..So, either Mother Nature deigns to give the world a terrifying wake up call. Or people like us have to build the greatest guerilla force in human history. Now. Because time is up…Someone needs to convene a council of war of the major environmental movements, blogs, institutes etc. In a smoke filled room (OK, an incense filled room) we need a conspiracy to save humanity."

 

Et il n'est plus question ici de science ou de carrières personnelles ou de réputation. C'est un combat pour la survie. La survie de nos civilisations... Nous avons besoin de vos donateurs (anonymes - ou pas tellement anonymes), de nos think tanks... Nos Monckton... Nos assassins.

Vous connaissez le numéro de téléphone privé de Bill Gates, celui de Warren Buffett, celui de Richard Branson ? "Notre côté" se doit d'être professionnel, dès que possible. On doit se mettre en réseau. Chaque blog, chaque organisation, chaque mouvement doit être comme une section dans une armée... Cela ressemble beaucoup à la guerre du Viêt Nam... Et les sceptiques sont le Viêt Cong... Pas du tout de bataille entre gentilshommes Et les braves gens comme Gleick ne savent pas comment faire. Les règles de la boxe plutôt que mordre et arracher... Donc, soit la Mère Nature daigne donner au Monde un terrible signal d'éveil. Ou des gens comme nous doivent constituer la plus grande guerilla dans l'histoire humaine. Maintenant. Parce qu'il est temps... Il faut que quelqu'un rassemble un conseil de guerre de tous les mouvements environnementaux, des blogs, des instituts, etc. Dans une pièce enfumée (OK, enfumée d'encens), nous avons besoin d'une conspiration pour sauver l'humanité.

 

Chouette, non ? ça vient de Glenn Tamblyn, de Skeptical Science (pas du tout un blog sceptique, malgré son titre, en fait un blog totalement climato-catastrophiste). C'est d'autant plus rigolo qu'il assimile les "sceptiques" au Viêt Cong....

 

 

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 12:48

Et c'est reparti pour un tour... Il y a quelques jours, on n'entendait que ça à la radio, Isaac est devenu un ouragan, la Nouvelle Orléans menacée, une catastrophe potentielle !

 

Pschittttt...

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