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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 21:57

On glose beaucoup sur les méfaits du diesel actuellement, et ça me fait un peu rire de lire toutes ces accusations alors qu'il y a à peine quelques années les "associations de consommateurs" comme Test-Achats et Que Choisir encourageaient leurs lecteurs à acheter des bagnoles au diesel. Elles ont eu un plein succès... Notez que pendant plusieurs années, les mêmes associations prônaient l'usage du sel de cuisine dans les lave-vaisselles. Depuis, elles ont fait une énorme courbe rentrante : "Surtout pas" !

Bah, soyons donc, une fois de plus, critiques envers les vérités révélées (et cela concerne aussi celles qui damnaient depuis des décennies les maux supposément associés à l'ingestion de viande rouge et d'autres aliments damnés - cf une série d'articles parus dans le New Scientist).

En ce qui concerne le diesel, je ne peux que me référer à un article de Jo Nova - toujours bien à l'affût de ce genre d'amusement : http://joannenova.com.au/2014/08/green-plan-causes-air-pollution-kills-thousands-in-the-uk-thanks-to-dirty-diesel/

C'est en anglais, bien sûr, mais c'est assez facile à comprendre...

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20 mai 2014 2 20 /05 /mai /2014 20:43

J'avais déjà donné une partie de mon avis là-dessus, citant longuement Pascal Bruckner qui me semblait avoir une opinion particulièrement intéressante (comme toujours). Depuis, je suis tombé sur un article de Matt Ridley stigmatisant les attaques dignes du McCarthysme contre des scientifiques remettant en cause certaines conclusions du GIEC. Une nouvelle chasse aux sorcières sans aucun doute, où des conclusions scientifiquement établies - peer-reviewed - ne devraient pas être publiées car elles pourraient être "néfastes" aux politiques prônées par ledit GIEC, spécialement dans son WGIII et surtout dans son "Summary for Policymakers", particulièrement politique et cornaqué par les Etats.

Cela dit, l'article de Matt Ridley faisait état d'une interview de Ayaan Hirsi Ali sur, justement, sa vie et son expérience. Comme le rappelait aimablement Andrew Cummins, le terme "islamophobe" a été inventé par des fascistes pour que des couillons manipulent des imbéciles "Islamophobic Is A Word Created By Fascists, And Used By Cowards, To Manipulate Morons".

Je conseille donc d'aller voir cette interview parfaitement passionnante surtout que Ayaan Hirsi Ali n'a pas reçu son Doctorat Honoris Causa de la Brandeis University après l'insistance de son abominable "women’s studies department", nouvel avatar du Politically Correct faisant sa loi dans les Universités amerloques (et je n'utilise pas ce mot par détestation, seulement par dépit)

Gute Shabbes !

Références en anglais, mais je ne traduis pas !

.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:50

Une nouvelle (enfin, nouvelle... elle date du 25/9/2010) citation du New Scientist, sous la forme d'un édito :

"For many years, any mention of the sun's influence on climate has been greeted with suspicion.

People who believe human activity has no effect on the climate staked a claim on the sun's role, declaring it responsible for the long-term warming trend in global temperatures. Climate scientists were often uneasy about discussing it, fearful that any concession would be misunderstood by the public and seen as an admission that climate sceptics are right.

No one has ever denied that the sun has an effect on climate. But the consensus view has always been that variations in the sun's activity, such as the 11-year sunspot cycle, have insignificant effects. While this remains true, the latest findings show that the sun might be significant on a more regional scale. It seems changes in solar activity can have consequences ranging from higher rainfall in the tropics to extreme weather events in the north (see "The sun joins the climate club").

We now know we should take the influence of our local star into account. But its effects are far more subtle and complex than those who flatly deny human influence on climate change would have us believe."

à rapprocher d'un articulet plus récent du même NS (11/1/2014) intitulé "Sleepy Sun Widens the Slow Solar Wind".

Fascinant. Donc, le rôle du Soleil sur le climat terrestre est reconnu par les climatologues (du moins certains d'entre eux, suivez mon regard...), contrairement à ce qu'ils ont toujours professé ! Mais comme ç'aurait pu valider les critiques des "négationnistes", il faut se taire...

Si c'est ça la "science officielle", ça me fait peur !

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:23

Sur le site (paywalled) du New Scientist, cet article intéressant qui se termine ainsi :

"Organic farming in the tropics may carry the same benefits as it does in Europe, Turnbull notes. But it might not. Many of the species that benefit from organic farming in Europe have evolved for many centuries alongside intensive farming – which was effectively organic until after the second world war. Tropical wildlife lacks this history with intensive farming, so it may benefit less.

In fact, organic farming may even be worse for wild species in the tropics. Organic farming yields are lower than they are for intensive farming, points out Turnbull. So to produce a given amount of produce organically, more natural habitat must be cleared and more wildlife disturbed.

Journal reference: Journal of Applied Ecology, DOI: 10.1111/1365-2664.12219"

"La culture biologique dans les Tropiques peut être aussi bénéfique qu'en Europe, note Turnbull. Mais peut-être pas. De nombreuses espèces ayant bénéficié de l'agriculture biologique en Europe ont évolué durant de nombreux siècles aux côtés de la culture intensive - qui n'est devenue bio qu'après la deuxième guerre mondiale [et là, je me pose des questions... - cdc]. Les espèces tropicales n'ont pas vécu à côté de ces cultures bio, et donc elles peuvent en avoir moins bénéficié.

En fait, les cultures bio pourraient être plus désavantageuses pour les espèces sauvages tropicales. Les rendements de la culture bio sont moindres que ceux de la culture intensive, fait remarquer Turnbull. Dès lors, produire une quantité de produits bios exige de détruire plus d'habitats naturels et de perturber plus de vie sauvage."

I rest my case, même si la traduction est rapide (mais exacte...).

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 14:24

Un article savoureux de Willis Eschenbach chez WUWT.

WE a repris les données satellitaires du MSU à l'Université de l'Alabama à Huntsville (températures de la troposphère inférieure), et ce par groupes de latitudes : tropiques, tropiques à polaires, polaires à 90°). Mieux qu'un discours :

 

Figure 1. Satellite-based microwave sounding unit temperatures (red line) from the University of Alabama Huntsville. Blue line shows a loess smooth, span=0.4. Data from KNMI (NCDF file, 17 Mb)

Figure 1. Satellite-based microwave sounding unit temperatures (red line) from the University of Alabama Huntsville. Blue line shows a loess smooth, span=0.4. Data from KNMI (NCDF file, 17 Mb)

Ces mesures remontent tout de même à la fin des années '70.

Alors ? Tropiques : aucun trend discernable - 40% de la planète, où se trouvent les pauvres dont on dit qu'ils seront les plus impactés par les changements - les aberrations - climatiques. Extratropiques : une très légère hausse au nord, plat au sud. Antarctique ? légère diminution puis léger rebond. Arctique (4% de la surface terrestre) : oui, là le trend haussier est indéniable, ce serait étonnant avec les déglaciations sévères que l'on y mesure depuis quelques années. Mais, malgré les annonces catastrophistes, l'année 2013 n'a pas vu la fonte complète des glaces arctiques, mais bien leur reconstitution partielle.

 

Non, vraiment pas de quoi s'affoler !

 

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 21:02

Oui, cela fait de nombreuses années que les critiques du GIEC (ceux qu'on appelle plus ou moins gentiment les "sceptiques" ou plus ou moins diaboliquement les "négationnistes" - en rapport évident avec les négateurs de la Shoah) font remarquer que, selon les données les plus officielles utilisées par ledit GIEC, la "température moyenne" du globe (quoi que cette moyenne signifie, et j'ai de grands doutes sur la signification thermodynamique d'un tel concept, et aussi sur la qualité des mesures effectuées) a stagné depuis quelque 16 ou 17 ans, contrairement à ce que tous les modèles avaient "prédit".

 

Au début, ce fut le déni absolu, et même la grosse artillerie contre ceux qui osaient en parler, ainsi David Rose dans son article de 2012 ; certes, Phil Jones avait admis du bout des lèvres que, oui, à la marge, c'était tout juste statistiquement acceptable. Dans les e-mails repris au Climategate, on avait lu Trenberth se scandalisant "It's a travesty", etc... ce qui lui avait valu la fureur des politiquement corrects ne comprenant pas le terme de travesty. Puis, les données s'accumulant, il était devenu évident que cette "pause" s'étendait et avait franchi la barre fatidique des deux écarts-types, soit une probabilité statistique à 5%, celle pour laquelle WUWT s'était fait taper sur les doigts pour ne l'avoir pas incorporée dans ses statistiques sur l'englaciation arctique (depuis, c'est fait).

 

Et maintenant ?

 

Même Nature et Trenberth admettent qu'en effet, il y a une "pause" dans le réchauffement "global". Comme la NASA et le NOAA... Et comment l'expliquer ? Pour certains, aucun doute : le réchauffement global existe, il est évident, mais caché, comme le Mahdi des chiites. Il se réfugie dans les océans (et, étant donné la capacité calorifique de l'eau, devrait provoquer une élévation de température moyenne des océans d'environ 0,000015 °C par siècle, et encore, des couches les plus profondes... (J'exagère un peu, je le reconnais). On trouvera ici un article très documenté de Judith Curry - pas précisément une aimable amateur négationniste - sur le sujet, et ici l'article suivant du blog de Judith Curry sur les mesures de chaleur océanique.

 

En fait, cette explication est purement ad hoc. Le raisonnement des Trenberth et al. est simple : il y a un forçage supplémentaire, ça ne se discute pas, et s'il n'y a pas de réchauffement au sol, c'est qu'il doit y en avoir ailleurs. Où ? Mais dans les océans, pardi, on n'a pas le choix ! Et tout à coup, on "découvre" l'ENSO, alors qu'il n'y a pas cinq ans, les pauvres "sceptiques" qui parlaient d'El Niño et compagnie se faisaient rabrouer avec violence !

 

La démarche des "sceptiques" est tout autre. Il y a effectivement un forçage supplémentaire depuis en gros les années cinquante. Il y a eu une augmentation de température depuis le XIXe siècle - la fin du petit âge glaciaire. Depuis une petite vingtaine d'années, il n'y en a plus. On n'explique pas, mais ça pourrait être dû, par exemple, à des rétroactions de l'atmosphère (nuages ou albedo).

 

Peu importe, en fait : le plus important est de constater - ça crève les yeux - à quel point les modèles utilisés par le GIEC sont faux, inutiles et même nuisibles.

Ah, la "pause"...
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25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 16:48

C'est dans l'espace Forum de l'AFIS que j'ai trouvé toute une série de discussions particulièrement intéressantes, dont la position du CA de l'AFIS à propos des dernières publications du GIEC.

 

Une autre discussion portait sur la croissance/décroissance, avec référence à un article de Lutte ouvrière de juillet 2009. Je ne suis pas souvent en accord avec les trotz de LO, mais là, il faut reconnaître qu'ils font mouche. Ils reprennent les insanités d'un Jacques Ellul (« Nous constatons que dans la Bible, l’intervention divine a lieu quand l’inhumanité, quand le mal moral et physique dépasse les bornes. Dieu provoque un événement approprié à cet excès d’inhumanité, qui placera l’homme devant le choix de se repentir ou de mourir. Je suis convaincu que l’apparition du virus du sida correspond à cet ordre d’action de Dieu » - 1986), les formules idiotes, voire abjectes, d'un Serge Latouche (« La pauvreté, richesse des peuples », « Il faut jeter le bébé plutôt que l’eau du bain »), les mièvreries d'un Edgar Morin (« Toutes les solutions envisagées sont quantitatives : croissance économique, croissance du PIB. Quand donc la politique prendra-t-elle en considération l’immense besoin d’amour de l’espèce humaine perdue dans le cosmos ? »), les inepties d'un Yves Cochet, etc. etc.

 

Bien sûr le PCF et le NPA en prennent aussi sur la tronche pour vouloir faire la course à l'échalote avec les Verts.

 

On peut être d'accord sur les arguments, mais, en ce qui me concerne, je ne rêve pas d'un monde communiste pour demain... C'est là que nos chemin se séparent !

 

Lisez l'article, il est drôle et bien écrit.

 

 

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 22:19

Lisant un intéressant article sur turgot.org et le commentaire n° 18, bien sûr il ne s'agit pas d'un complot ! Mais il est évident qu'il s'agit aussi d'une conjonction d'intérêts. Pour avoir des subsides, les places sont chères... Parlez du CO2, et il arrivera bientôt la fameuse phrase "More reseach must be done", autrement dit : donnez-moi des sous...

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 16:48

J'avais consacré un post court à ce sujet il y a peu, invitant à lire ce que les scientifiques allaient livrer aux politiques (sachant tout de même que certains scientifiques étaient plutôt de type activistes), et ce que ceux-ci allaient en faire.

 

En découvrant le site turgot.org, je trouve un article de J-M Bélouve reprenant le sujet en profondeur.

 

Bonne lecture !

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 19:24

On allait voir ce qu'on allait voir ! Des vents d'une violence effroyable, des vagues de plus de six mètres de haut, des images TV hallucinantes, et le rappel de la catastrophe toute proche à chaque point actualité à la RTBF, plus cette question terrible : est-ce le début de la fin pour la côte belge ? Et d'ailleurs, la Belgique elle-même allait-elle survivre à un cyclone d'une telle violence.

 

On a vu.

 

Ou plutôt, on n'a rien vu. Enfin, rien de plus qu'on ne voit chaque année avec son lot de gros temps et de tempêtes, et 1953 est toujours très loin, heureusement ! Je m'en souviens encore, malgré mon jeune âge à l'époque...

 

Et bien entendu il ne fallait pas compter sur les bulletins météo de l'IMB, dont le patron, Jean-Pascal van Ypersele, est vice-Président du GIEC, autant dire... Ce dernier laissant généreusement entendre qu'il n'était pas absolument certain que cette tempête monstrueuse était directement causée par le "dérèglement climatique", mais que la terrible montée des océans faisait que la Mer du Nord avait monté de 10 cm depuis 1953, vous imaginez ?

 

Mais les tempêtes ont la cote pour les carbo-centristes, on n'en veut pour preuve que la stupide "photo" de Bodil qui circule sur le Net :

 

Le super-cyclone Xavier

Inutile de dire qu'il s'agit d'un photoshoppage grossier, comme il en circule bien d'autres, dont le fameux ours polaire sur son glaçon, et la couverture du dernier livre d'Al Doigt-dans-l'oeil Gore...

Le super-cyclone Xavier
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