Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Humeur !

Nucleardelinquent teen 150x200BioHockey%20Stick%20Jacket3 HandsOff-copie-1 

Recherche

Articles RÉCents

Autres Liens

19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 12:23

Une année catastrophique, exactement :

Une année catastrophique  - pluie, gel, vent...

oui, mais c'est de 1954 qu'il s'agit. 

 

On trouvera la description complète ici :

 

http://notalotofpeopleknowthat.wordpress.com/2014/02/17/blimey-bad-weather-in-1954-surely-thats-not-possible/

 

mais en voici un extrait amusant

 

1954: Thames River Over 4 Feet Above Normal, Famous Eton Swamped

1954: Britain Hit With "Flood Havoc" – Gales, Snow Add To Misery

1954: Heaviest Snowfall In 15 Years From Blizzard Blankets Chicago

1954: No Survivors When Blizzard "Wrecks" Japanese Fishing Fleet

1954: Worst Blizzard In Turkey In Over 40 Years Payalyzes Instanbul

1954: 100 MPH Blizzard Winds Howl Across Nebraska

1954: Worst Flood In Centuries – Bagdad, Iraq

1954: 100,000 Battle Severe Flooding In China

1954: Scientists Tell Congress That The Arctic Might Be Navigable By 1979

1954: Arctic Permafrost In Canada Melting – Natives Have To Be Moved

1954: "New York In Grip Of Blizzard"

1954: Austrian-German Border Area Suffers Disastrous Floods – 16 Killed

1954: "Freak of Nature" Produces Famine, Flood & Drought For Region of India

1954: Melting Himalayan Glacier Flooding – 200,000 Homeless

1954: North African Earthquake Followed By More Tremors – 1,340 Deaths In Algeria

1954: Egyptians Scream "the end of the world is coming" As Torrential Rains Bring Unfamiliar Flooding

1954: ‘Great Iran Flood’ Killed Over 10,000

1954: Longest Drought Grows To Four U.S. States

1954: Heat Wave In Illinois Registers 117 Degree Temperature – Highest Ever

1954: Dixie First Hit By Dust Storms Then Tornadoes

1954: Drought Turns To Floods In Texas

1954: Gales Blasts Portugal – 4 Die

1954: Worst Floods of Century Devastate Areas of Nepal

1954: Hurricane Carol Stampedes Through New England – 49 Dead

1954: Hurricane Edna Blasts New England & Canada

1954: Hurricane Hazel Strikes Haiti, U.S. & Canada – At Least 1,000 Dead

1954: 8 Hurricanes Wreak Havoc On U.S. During 1954 – Worst Year On Record

1954: Spanish Coastguard Vessel Sunk By Gale Near Gibraltar

1954: Record Flood Damages & Losses Reported In Areas Of Australia

1954: Record Heat Wave Brings Death

1954: Gale Creates 15 Foot Waves In English Channel, Slams Britain’s Coast

1954: 18 Die In Airliner Crash Caused By Mexican Dust Storm

1954: Across The Globe, Weather Breaks All The Rules

1954: Floods & Landslides Leave 10,000 Italians Homeless

1954: Radioactive Dust Storm Injures 23 Japanese Fishermen

1954: "NINE DEATHS IN COAST-TO-COAST STORM Plains Swept by Snow and Blizzard"

1954: 69 MPH Gale Pummels Adelaide, Australia

 

Gute Shabbes!

Partager cet article
Repost0
29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 14:24

Un article savoureux de Willis Eschenbach chez WUWT.

WE a repris les données satellitaires du MSU à l'Université de l'Alabama à Huntsville (températures de la troposphère inférieure), et ce par groupes de latitudes : tropiques, tropiques à polaires, polaires à 90°). Mieux qu'un discours :

 

Figure 1. Satellite-based microwave sounding unit temperatures (red line) from the University of Alabama Huntsville. Blue line shows a loess smooth, span=0.4. Data from KNMI (NCDF file, 17 Mb)

Figure 1. Satellite-based microwave sounding unit temperatures (red line) from the University of Alabama Huntsville. Blue line shows a loess smooth, span=0.4. Data from KNMI (NCDF file, 17 Mb)

Ces mesures remontent tout de même à la fin des années '70.

Alors ? Tropiques : aucun trend discernable - 40% de la planète, où se trouvent les pauvres dont on dit qu'ils seront les plus impactés par les changements - les aberrations - climatiques. Extratropiques : une très légère hausse au nord, plat au sud. Antarctique ? légère diminution puis léger rebond. Arctique (4% de la surface terrestre) : oui, là le trend haussier est indéniable, ce serait étonnant avec les déglaciations sévères que l'on y mesure depuis quelques années. Mais, malgré les annonces catastrophistes, l'année 2013 n'a pas vu la fonte complète des glaces arctiques, mais bien leur reconstitution partielle.

 

Non, vraiment pas de quoi s'affoler !

 

Partager cet article
Repost0
26 janvier 2014 7 26 /01 /janvier /2014 19:14

...eh ben, ce n'était pas 2013... En fait, selon les sources (GISS, HADCRUT4, etc.), 2013 est la 8e année la plus chaude depuis 1979 - autrement dit, dans le passé, sept ont été plus chaudes, alors qu'il y avait moins de CO2 dans l'atmosphère.

 

Mais ça, vous ne l'entendrez pas dans la Presse francophone... Ce que vous entendrez, c'est le refrain habituel : "2013 est dans les dix années les plus chaudes depuis le XIXe siècle !". Ce qui est vrai, mais sans intérêt. J'ai même lu (dans le Monde, si j'ai bonne mémoire) "novembre 2013, le mois le plus chaud depuis je ne sais quand !". Quand on voit le graphique, on sourit un peu... C'est vraiment faire flèche de tout boi.

L'année la plus chaude...
Partager cet article
Repost0
24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 21:02

Oui, cela fait de nombreuses années que les critiques du GIEC (ceux qu'on appelle plus ou moins gentiment les "sceptiques" ou plus ou moins diaboliquement les "négationnistes" - en rapport évident avec les négateurs de la Shoah) font remarquer que, selon les données les plus officielles utilisées par ledit GIEC, la "température moyenne" du globe (quoi que cette moyenne signifie, et j'ai de grands doutes sur la signification thermodynamique d'un tel concept, et aussi sur la qualité des mesures effectuées) a stagné depuis quelque 16 ou 17 ans, contrairement à ce que tous les modèles avaient "prédit".

 

Au début, ce fut le déni absolu, et même la grosse artillerie contre ceux qui osaient en parler, ainsi David Rose dans son article de 2012 ; certes, Phil Jones avait admis du bout des lèvres que, oui, à la marge, c'était tout juste statistiquement acceptable. Dans les e-mails repris au Climategate, on avait lu Trenberth se scandalisant "It's a travesty", etc... ce qui lui avait valu la fureur des politiquement corrects ne comprenant pas le terme de travesty. Puis, les données s'accumulant, il était devenu évident que cette "pause" s'étendait et avait franchi la barre fatidique des deux écarts-types, soit une probabilité statistique à 5%, celle pour laquelle WUWT s'était fait taper sur les doigts pour ne l'avoir pas incorporée dans ses statistiques sur l'englaciation arctique (depuis, c'est fait).

 

Et maintenant ?

 

Même Nature et Trenberth admettent qu'en effet, il y a une "pause" dans le réchauffement "global". Comme la NASA et le NOAA... Et comment l'expliquer ? Pour certains, aucun doute : le réchauffement global existe, il est évident, mais caché, comme le Mahdi des chiites. Il se réfugie dans les océans (et, étant donné la capacité calorifique de l'eau, devrait provoquer une élévation de température moyenne des océans d'environ 0,000015 °C par siècle, et encore, des couches les plus profondes... (J'exagère un peu, je le reconnais). On trouvera ici un article très documenté de Judith Curry - pas précisément une aimable amateur négationniste - sur le sujet, et ici l'article suivant du blog de Judith Curry sur les mesures de chaleur océanique.

 

En fait, cette explication est purement ad hoc. Le raisonnement des Trenberth et al. est simple : il y a un forçage supplémentaire, ça ne se discute pas, et s'il n'y a pas de réchauffement au sol, c'est qu'il doit y en avoir ailleurs. Où ? Mais dans les océans, pardi, on n'a pas le choix ! Et tout à coup, on "découvre" l'ENSO, alors qu'il n'y a pas cinq ans, les pauvres "sceptiques" qui parlaient d'El Niño et compagnie se faisaient rabrouer avec violence !

 

La démarche des "sceptiques" est tout autre. Il y a effectivement un forçage supplémentaire depuis en gros les années cinquante. Il y a eu une augmentation de température depuis le XIXe siècle - la fin du petit âge glaciaire. Depuis une petite vingtaine d'années, il n'y en a plus. On n'explique pas, mais ça pourrait être dû, par exemple, à des rétroactions de l'atmosphère (nuages ou albedo).

 

Peu importe, en fait : le plus important est de constater - ça crève les yeux - à quel point les modèles utilisés par le GIEC sont faux, inutiles et même nuisibles.

Ah, la "pause"...
Partager cet article
Repost0